Contes et nouvelles
Outre les bons romans, je suis également une grande amatrice de contes et, à l’occasion, de nouvelles. Plutôt que de parler de recueils entiers, qu’il est rare d’aimer dans leur intégralité, je préfère vous décrire ici les histoires que j’ai préférées. « Kirikou n’est pas grand, mais il est vaillant ! », ainsi en va-t-il de ces petits récits, dont la lecture vaut parfois celle des meilleurs romans.
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La Belle et la Bête, de Mme Leprince de Beaumont
Marmoisan ou l’innocente tromperie, de Mademoiselle L’Héritier
Une descente dans le Maelström, d’Edgar Allan Poe
La petite souris grise, de la Comtesse de Ségur
La Mort vivante, de Stefan Wul
Cendrillon, de Perrault et de Grimm
Le conte du genévrier, des frères Grimm
La Petite Princesse, de Frances Hodgson Burnett
Les mots perdus, de Catulle Mendès
Les Deux Enfants Royaux, des frères Grimm
Fragments sauvés des ruines de mon esprit, de Philip José Farmer
Les contes de l’Alhambra, de Washington Irving
Peter Pan, de James Matthew Barrie
La Petite Sirène, de Hans Christian Andersen
Le prince Fatal et le prince Fortuné, de Mme Leprince de Beaumont
Les récits de feu Ivan Petrovitch Belkine, d’Alexandre Pouchkine
La Reine des Neiges, de Hans Christian Andersen
La Belle au bois dormant, de Charles Perrault
La fille du roi de la vase, de Hans Christian Andersen
Les deux sœurs jalouses, de Schéhérazade (Antoine Galland)
La Morte amoureuse, de Théophile Gautier
Destruction d’un cœur, de Stefan Zweig
Le vase d’or, d’E.T.A. Hoffmann
Casse-Noisette et le Roi des souris, d’E.T.A. Hoffmann
Petit Zacharie surnommé Cinabre, d’E.T.A. Hoffmann
Princesse Brambilla, d’E.T.A. Hoffmann
Maître Puce, d’E.T.A. Hoffmann
La Métamorphose, de Franz Kafka