La Bibliothèque en interview
Nous sommes à la mi-avril 2018 et j’achève un colossal poisson entamé le 31 mars… Ce n’est pas une blague, j’ai bel et bien pris ma semaine du 1er au 8 avril pour corriger Vivre, et ce travail vient de se terminer ! Chers abonnés, fidèles lecteurs et lectrices, le tome 2 de La Bibliothèque sortira dans les temps. Près de 90 pages supprimées sur 300, 3 chapitres lourdement remaniés sur 5, un personnage ajouté, et ces mots tant attendus de ma sainte correctrice : « C’est presque génial. » Alléluia ! Contrairement à Grandir, Vivre ne passera pas deux ans dans les marasmes de la correction. J’en profite pour vous signaler la parution de nouvelles chroniques sur les aventures d’Émilie, disponibles sur Bookpearl, Bulle Livresque et You Can Read. Dans le fil des partenariats littéraires, j’ai également eu le plaisir de partager l’un de mes articles sur le très dynamique blog de Passion Cultur’all !
D’autres nouvelles de Vivre suivront dans les prochaines actualités. Ce qui m’intéresse aujourd’hui, ce sont les interviews que j’ai été invitée à faire après le Salon du livre de Paris. Deux étudiantes m’ont sollicitée dans le cadre de leur mémoire : la première en anthropologie, la seconde en communication. Ces spécialisations ont donné lieu à des échanges très enrichissants. On m’a ainsi demandé si le fait d’avoir terminé et publié Grandir avait changé l’image que j’avais de moi, ou que les autres avaient de moi. Et la réponse est oui bien sûr… À la question du temps passé à gérer ma communication sur Internet, j’étais la première surprise du résultat : de 4 à 5 heures par semaine, pour écrire un article, le partager sur Facebook, lire d’autres publications autour du livre et intervenir dans les différents groupes sur lesquels je suis inscrite.
Contrairement à l’interview que j’ai donné début mars aux Livres d’Alexis, ces deux échanges resteront plus confidentiels, mais j’ai été honorée que ces étudiantes s’intéressent assez aux auteurs autoédités pour analyser leur démarche dans un mémoire. C’est une preuve que les mœurs évoluent et cela permet de s’interroger hors des sentiers battus ! J’ai ainsi appris que YouTube était plus prometteur qu’Instagram dans le secteur du livre, que des pics de connexion avaient lieu sur Facebook à certains moments du jour, de la semaine et de l’année, et que je n’avais pas commis de grossière erreur en me lançant sur le tard dans la création d’une page Facebook. Autant de pistes qu’il me faudra explorer pour continuer de faire connaître au monde l’existence de La Bibliothèque !
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« Avez-vous créé une communauté autour de La Bibliothèque ? » Cette question qui a conclu l’une des interviews m’a semblé très intéressante. Lecteurs, auteurs, chroniqueurs, La Bibliothèque réunit des publics très différents : de tous âges et de tous horizons, amateurs d’une grande variété de genres littéraires. Que recherchent-ils, que recherchez-vous, en vous abonnant à mon site ou en aimant ma page Facebook ? La parole est à vous… 😉