Grandir fait ses premiers pas sur la scène littéraire
« Quoi de neuf en ce beau mois de janvier 2017 ?
– La pluie et la tempête, la grande sérénade des « meilleurs vœux », la galette des rois… Et la première apparition de Grandir en librairie ! L’Établi à Alfortville a accepté de prendre 5 exemplaires de Grandir en rayon. Vous en trouverez 3 sur le présentoir central, sans compter les dizaines de marque-pages que j’ai laissés là-bas, et que je distribue un peu partout. Grandir et ses marque-pages sont également présents à la bibliothèque de Jouques dans les Bouches-du-Rhône, ainsi qu’à la bibliothèque d’Argentat en Corrèze. Vous expliquer pourquoi serait une longue histoire : sachez seulement que les déménagements et l’autopromotion littéraire font bon ménage.
– Très bien, très bien. Est-ce tout ce que vous vouliez me dire ?
– Non bien sûr ! Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, les premières chroniques de Grandir font également leur apparition sur Internet. Elles sont extrêmement positives… Et entièrement objectives ! Chacun s’accorde à dire que mon roman est d’une grande richesse, plein d’aventures et de sagesse, malgré quelques rarissimes lourdeurs. Pour vérifier si je dis vrai, rendez-vous ici.
– Quelques chroniques et une petite apparition en librairie, ce n’est pas grand-chose… Il y a encore beaucoup de chemin à parcourir pour vivre de l’écriture.
– C’est vrai, mais chaque progrès a son importance. Toutes les chroniques et tous les lecteurs comptent. Chaque marque-page que je donne est comme une bouteille à la mer : qui sait jusqu’où ils iront ? Peut-être seront-ils oubliés dans des livres, et découverts par d’autres lecteurs… Grandir part à la recherche de son public. Et savoir que j’ai donné du plaisir à d’autres aventuriers des lettres, même s’ils ne sont que quelques-uns, me procure un grand bonheur. Après tout, c’est pour cela que j’écris : donner du sens à mon existence, et du sens à la lecture.
– Toujours est-il que de longs mois s’écouleront avant que les résultats financiers de votre entreprise se fassent sentir. Que prévoyez-vous ?
– Pour commencer, je vais m’inscrire sur le catalogue Dilicom, afin que Grandir puisse être commandé dans toutes les librairies de France. Je continuerai à distribuer des marques-pages à la moindre occasion, et j’essaierai d’en déposer dans les bibliothèques parisiennes. Je travaille également tous les week-ends à l’écriture de Vivre, et je compte bien être présente au salon du livre qui se déroulera en mars. »
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Cet article vous a plu ? N’hésitez pas à aller jeter un œil sur :
– La page Facebook de la librairie L’Établi
– La page Facebook de la bibliothèque de Jouques
– Le site internet de la médiathèque d’Argentat
À vous la parole ! Auteurs indépendants, comment faites-vous la promotion de vos œuvres ? Lecteurs de tous horizons, vous laissez-vous influencer par les chroniques ? Je lirai vos commentaires avec un grand plaisir 🙂